EARL Derrière la haie
Publié : 13 février 2014, 21:38
Après avoir posté un premier message à propos de l'arracheuse à patate, je prends 30 secondes pour me présenter...
J'ai fait quelques années de travail dans la microélectronique puis j'ai décidé de me réorienter vers l'agriculture et le maraîchage biologique. J'ai donc suivi un BPREA à St Ismier puis j'ai eu l'opportunité d'obtenir un terrain de 2ha sur Jarcieu (vers Beaurepaire) où je me suis installé en EARL en ce début d'année.
Même si j'ai entendu parlé de l'association et des planches permanentes pendant mes cours, ce sont les conseils de mon maître de stage PPP de faire un vibroplanche et un cultibutte (sans butteuse) pour ne pas avoir à acheter un cultirateau qui m'ont aiguillé vers vous. De fils en aiguille, j'ai opté pour les planches permanentes et dispose désormais du parc complet d'outils "Adabio Autoconstruction".
Du coup, je débute en découvrant à la fois mes sols, mes outils, le tracteur... et la nécessité d'avancer malgré les conditions maussades. Que du bonheur ! Autant dire que mes premières planches ne sont pas jolies jolies. Mais on y croit, ça va s'améliorer !
Voila... Ah oui, je compte vendre ma production en vente directe sur des marchés et par un magasin à la ferme.
Jean.
J'ai fait quelques années de travail dans la microélectronique puis j'ai décidé de me réorienter vers l'agriculture et le maraîchage biologique. J'ai donc suivi un BPREA à St Ismier puis j'ai eu l'opportunité d'obtenir un terrain de 2ha sur Jarcieu (vers Beaurepaire) où je me suis installé en EARL en ce début d'année.
Même si j'ai entendu parlé de l'association et des planches permanentes pendant mes cours, ce sont les conseils de mon maître de stage PPP de faire un vibroplanche et un cultibutte (sans butteuse) pour ne pas avoir à acheter un cultirateau qui m'ont aiguillé vers vous. De fils en aiguille, j'ai opté pour les planches permanentes et dispose désormais du parc complet d'outils "Adabio Autoconstruction".
Du coup, je débute en découvrant à la fois mes sols, mes outils, le tracteur... et la nécessité d'avancer malgré les conditions maussades. Que du bonheur ! Autant dire que mes premières planches ne sont pas jolies jolies. Mais on y croit, ça va s'améliorer !
Voila... Ah oui, je compte vendre ma production en vente directe sur des marchés et par un magasin à la ferme.
Jean.